Les thérapeutes familiales féministes : Différence entre versions
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Les premières thérapeutes familiales féministes ont commencé à introduire une analyse du genre dans la recherche thérapeutique. Parmi ces femmes, citons [[Références de ce dictionnaire|Rachel Hare-Mustin (1978, 1987, Hare-Mustin & Marecek 1990), Marianne Walters, Betty Carter, Peggy Papp et Olga Silverstein du Women's Project à New York (1988), et Monica McGoldrick, Carol Anderson et Froma Walsh (1989)]]. Ici, en Australie, on peut citer parmi les premiers exemples, l'intervention influente Kerrie James qui a prononcé un discours intitulé "Briser les chaînes du genre" (voir [[Références de ce dictionnaire|James 2001 ; James & McIntyre 1983]]). Ces recherches féministes ont ouvert de nouvelles façons de comprendre la vie des gens et les relations familiales et ont donc créé de nouvelles possibilités quant à la manière de parler des problèmes que les gens amenaient en thérapie. ([[Références de ce dictionnaire|Russell & Carey, 2003, p. 71]])<br/> | Les premières thérapeutes familiales féministes ont commencé à introduire une analyse du genre dans la recherche thérapeutique. Parmi ces femmes, citons [[Références de ce dictionnaire|Rachel Hare-Mustin (1978, 1987, Hare-Mustin & Marecek 1990), Marianne Walters, Betty Carter, Peggy Papp et Olga Silverstein du Women's Project à New York (1988), et Monica McGoldrick, Carol Anderson et Froma Walsh (1989)]]. Ici, en Australie, on peut citer parmi les premiers exemples, l'intervention influente Kerrie James qui a prononcé un discours intitulé "Briser les chaînes du genre" (voir [[Références de ce dictionnaire|James 2001 ; James & McIntyre 1983]]). Ces recherches féministes ont ouvert de nouvelles façons de comprendre la vie des gens et les relations familiales et ont donc créé de nouvelles possibilités quant à la manière de parler des problèmes que les gens amenaient en thérapie. ([[Références de ce dictionnaire|Russell & Carey, 2003, p. 71]])<br/> | ||
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Version du 9 août 2020 à 10:29
Feminist family therapists
Les premières thérapeutes familiales féministes ont commencé à introduire une analyse du genre dans la recherche thérapeutique. Parmi ces femmes, citons Rachel Hare-Mustin (1978, 1987, Hare-Mustin & Marecek 1990), Marianne Walters, Betty Carter, Peggy Papp et Olga Silverstein du Women's Project à New York (1988), et Monica McGoldrick, Carol Anderson et Froma Walsh (1989). Ici, en Australie, on peut citer parmi les premiers exemples, l'intervention influente Kerrie James qui a prononcé un discours intitulé "Briser les chaînes du genre" (voir James 2001 ; James & McIntyre 1983). Ces recherches féministes ont ouvert de nouvelles façons de comprendre la vie des gens et les relations familiales et ont donc créé de nouvelles possibilités quant à la manière de parler des problèmes que les gens amenaient en thérapie. (Russell & Carey, 2003, p. 71)